time to pretend est un forum city simple où le jeu se base principalement sur les Hamptons. Le but du forum n'est autre que de se faire plaisir, faire de nouvelles rencontres, de se poser un peu sans pression ni prise de tête et de rp tranquillement. Peu importe le personnage ou l'avatar choisi, vous serez le·a bienvenu·e parmi nous. Ce forum, on veut le construire et le développer avec vous. Ici, vous êtes à la maison.
age : vingt-cinq ans, jeunesse dorée et enviée par beaucoup ; vingt-cinq ans qu'il maudit sa propre existence, lui.
statut civil : célibataire, du genre à ne vivre que d'histoires sans engagements en se moquant des conséquences. Réduit à payer pour ça parfois, énième provocation contre son patriarche.
orientation : pansexuel, aime les gens, ce qu'ils sont, pas leur genre, c'est juste une étiquette dont il se fiche. Pas totalement assumé, petit secret bien à lui qui, il espère ne viendra pas aux oreilles de son père ; serait bien capable de gâcher ça.
occupation : chargé des relations publiques pour la chaîne d'hôtel de luxe de son père. Pas le métier de ses rêves, loin de là. Trop de responsabilités pour un gars de son âge, tout le monde le sait, il a eu le job grâce à son père, pas son expérience.
habitation : suite de luxe au roundtree, l'hôtel de son père. Il possède aussi un appartement à Manhattan et un atelier de peinture dans les hamptons dans lequel il crèche à l'occasion. Squatte aussi pas mal les lits des autres.
· (lizzie), and cry through the night. Jeu 28 Oct - 11:41
And cry through the night
-- ft / @Lizzie Clarke tw : drogues, alcool. Comme d’habitude, il avait besoin de sortir, de s’évader, de quitter ce fichu hôtel pour aller profiter de sa liberté. Il avait l’impression qu’il n’y avait bien qu’une fois la nuit tombée qu’il pouvait se permettre d’être lui-même le brun. Le reste de la journée, il fallait qu’il rentre dans les clous, qu’il fasse ce pourquoi il était payé et quand bien même il était plutôt bon dans ce qu’il faisait, c’était pas le métier de ses rêves à lui. C’était ce que son père voulait qu’il fasse, pas ce dont il avait envie. Il n’aimait pas le rôle qu’il était censé jouer à longueur de temps, mais il n’était pas question d’aller à l’encontre de ce que voulait son père. Il avait l’impression qu’il le paierait cher. Dans le fond, ce n’était même pas la crainte de se retrouver déshérité et sans argent qui le poussait à continuer bien sagement ce pacte qu’il avait fait avec son père. Il était certain que ce dernier ne manquait pas d’idées qui pourraient l’atteindre bien plus que ça. Alors il restait sage Hasan, quand bien même ce n’était pas son point fort. Enfin, il restait sage au moins jusqu’à ce que la nuit tombe, là en principe, il devenait hors de contrôle. Il fallait bien qu’il trouve un moment pour profiter de la vie le brun et il avait une façon bien à lui de le faire, entre drogue et alcool lors de soirées toutes plus endiablées les unes que les autres.
C’était comme ça qu’il faisait sa vie le brun, pas la meilleure chose, mais il fallait bien avouer que ça rendait la vie un peu moins morose et vu son état psychologique, il prenait le bonheur où il pouvait l’avoir, quand bien même ce dernier n’était ni réel ni bon pour sa santé. Il avait roulé plusieurs heures en direction de Manhattan, quittant les Hamptons pour New-York, regrettée ville dans laquelle il aurait préféré faire sa vie. Il avait encore son appartement là-bas, mais ce n’était pas vers ce dernier qu’il se dirigeait, mais bien vers une rave-party organisée par l’une de ses connaissances. Évidemment, il en avait bien profité de cette soirée, il s’était bien retourné l’esprit, sans penser une seule fois aux conséquences. Il avait fini par atterrir chez un gars, pour un moment plus intime, plus privée. Coup d’un soir sans conséquence, qu’il avait bien vite abandonné, l’alcool coulant encore dans ses veines, autant que tout ce qu’il avait pu prendre à côté. D’abord, il était parti en quête d’un taxi, sa voiture abandonnée sur le parking de la fête et de toute façon, conscient que prendre le volant dans son état était une mauvaise idée. Il avait essuyé un accident, il ne voulait pas d’un deuxième. Finalement, il reconnaissait le coin. C’était là que Dexter habitait non ? Le même Dexter qui avait une épicerie dans les Hamptons. Est-ce qu’il faisait la route tous les matins ? C’était long pour venir bosser. Incapable de pousser la réflexion plus loin, il avait rejoint l’immeuble. Devant le digicode, il avait été en galère, mais après plusieurs essais, il avait entré le bon, la porte du bâtiment s’ouvrant enfin. Il allait demander à son cousin de l’héberger pour la nuit, ça lui semblait être le choix le plus raisonnable. Il n’avait pas fait attention à l’heure, oubliant que les gens normaux, ils dormaient en principe vers quatre heures du matin. Tant pis. Arrivé devant la porte, il commença à tambouriner comme un idiot. « Deeeeeex, c’est moi, ouvre la porte. » C’était lui ouais, qui débarquait avec ses gros sabots au beau milieu de la nuit et qui s’attendait à ce qu’on l’accueille comme s’il était la reine d’Angleterre. « J’ai un peu trop bu, j’peux pas rentrer chez moi. » Un peu ouais. Ça commençait lentement mais sûrement à redescendre, mais ça restait un euphémisme de dire ça. « J’ai la dalle en plus. Me laisse pas mourir de faim. » Il était littéralement en train de parler à une porte, Hasan et vu son état, il ne serait même pas surpris que cette dernière lui réponde.
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· Re: (lizzie), and cry through the night. Jeu 28 Oct - 18:30
age : vingt-cinq ans, jeunesse dorée et enviée par beaucoup ; vingt-cinq ans qu'il maudit sa propre existence, lui.
statut civil : célibataire, du genre à ne vivre que d'histoires sans engagements en se moquant des conséquences. Réduit à payer pour ça parfois, énième provocation contre son patriarche.
orientation : pansexuel, aime les gens, ce qu'ils sont, pas leur genre, c'est juste une étiquette dont il se fiche. Pas totalement assumé, petit secret bien à lui qui, il espère ne viendra pas aux oreilles de son père ; serait bien capable de gâcher ça.
occupation : chargé des relations publiques pour la chaîne d'hôtel de luxe de son père. Pas le métier de ses rêves, loin de là. Trop de responsabilités pour un gars de son âge, tout le monde le sait, il a eu le job grâce à son père, pas son expérience.
habitation : suite de luxe au roundtree, l'hôtel de son père. Il possède aussi un appartement à Manhattan et un atelier de peinture dans les hamptons dans lequel il crèche à l'occasion. Squatte aussi pas mal les lits des autres.
· Re: (lizzie), and cry through the night. Jeu 4 Nov - 12:22
And cry through the night
-- ft / @Lizzie Clarke tw : drogues, alcool. Manhattan, définitivement un coin qu’il préférait aux Hamptons, si ça ne tenait qu’à lui, il vivrait encore dans son appartement, dans ce quartier de New-York et il n’aurait pas besoin de mettre les pieds dans l’hôtel de son père. Malheureusement pour lui, on le lui avait pas laissé beaucoup de choix, son père avait trouvé un moyen de retourner la situation à son avantage et il ne s’en était pas privé. Des dois, Hasan il se demandait à quoi ça pouvait bien lui servir à son père, de ne manipuler de la sorte, alors que c’était évident qu’il ne pouvait pas voir sa tronche. Qu’est-ce qu’il avait a gagner, le père Pravesh, à voir son fils, le raté de la famille travailler dans cette compagnie dont il était si fier et pour laquelle il aurait toujours plus de respect et d’amour que pour son gamin ? Peut-être que c’était juste une histoire de réputation familiale, que ça la foutait mal que le fils Pravesh ne soit qu’un bon à rien. Il n’avait rien à apporter à sa famille avec ses toiles qui d’après son père ne valaient rien. Il y avait peut-être une réputation à sauver au sein de la famille et c’était ce qu’il essayait de faire son père. Pourtant Hasan, il aurait préféré qu’il se contente de l’oublier dans son coin, comme ça il aurait pu vivre sa vie tranquillement, sans avoir ce rôle au sein de la compagnie de son père. Ce rôle, il ne l’aimait vraiment pas.
Il allait devoir retourner dans les Hamptons pour s’occuper de ce qu’il avait à faire, pour continuer de faire ce métier qu’il n’aimait pas. Mais avant ça, il avait bien profité de sa soirée New-yorkaise. Un peu trop peut-être. Un peu trop, comme il le faisait en continue ces derniers temps. Il fallait qu’il rentre, mais c’était compliqué dans l’état dans lequel il était, alors, il s’était rendu jusqu’à l’appartement de son cousin, bien plus proche de là où il était, que son propre appartement. Dexter le laisserait probablement squatter son canapé pour la nuit. Il avait l’habitude, après tout. Mais ce n’était pas lui qui avait ouvert la porte, après qu’il ait tambouriné contre cette dernière. C’était Lizzie, sa fiancée. Oups. Il avait oublié que son cousin ne vivait pas seul. « Pas la moindre idée. » Il répondit simplement à la remarque de la blonde, pas le courage de regarder la montre à son poignet ou l’écran de son téléphone pour résoudre ce mystère. Tard dans doute, Lizzie avait l’air de quelqu’un qui sortait du lit. Elle le laissa quand même entré, il ne se fit pas prier le brun, se laissant tomber sur le canapé qu’elle venait de lui désigner. « Merci. » Il répliqua alors qu’elle lui amené un verre d’eau. Il avait bien besoin de ça, bouche pâteuse, soif marquée. L’alcool c’était pas le top pour rester hydraté de toute évidence. Il attrapa le verre pour en avaler une longue gorgée. Ça faisait du bien, même si ça n’effaçait pas les effets de tout ce qu’il avait consommé ce soir. « Hein ? Pourquoi ? » Il avait manqué un épisode de toute évidence, ou bien y avait encore un blackout dans son esprit faisant qu’il avait oublié des informations, sa mémoire lui faisait défaut ces derniers temps. « Peut-être, j’en sais rien. Ça me dit rien. » Des trous de mémoire, il en avait plein et c’était clairement l’une des conséquences de ses abus d’alcool et de drogue. « J’ai tendance à pas me souvenir de tout en ce moment. » Preuve évidence qu’il était dans l’excès, que ce n’était pas une soirée occasionnelle, mais bien une mauvaise habitude dans laquelle il était en train de tomber. Mauvaise habitude qui flinguait son cerveau au quotidien, au point de lui causer d’importants troubles de la mémoire. Peut-être que ça devrait être une information lui permettant de réaliser qu’il fallait qu’il se calme et pourtant, y avait fort à parier qu’il finisse dans le même état le lendemain, incapable de s’arrêter. Oublier sa vie dans le fond, ce ne serait pas forcément une mauvaise chose, d’après lui.
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· Re: (lizzie), and cry through the night. Dim 7 Nov - 17:48
age : vingt-cinq ans, jeunesse dorée et enviée par beaucoup ; vingt-cinq ans qu'il maudit sa propre existence, lui.
statut civil : célibataire, du genre à ne vivre que d'histoires sans engagements en se moquant des conséquences. Réduit à payer pour ça parfois, énième provocation contre son patriarche.
orientation : pansexuel, aime les gens, ce qu'ils sont, pas leur genre, c'est juste une étiquette dont il se fiche. Pas totalement assumé, petit secret bien à lui qui, il espère ne viendra pas aux oreilles de son père ; serait bien capable de gâcher ça.
occupation : chargé des relations publiques pour la chaîne d'hôtel de luxe de son père. Pas le métier de ses rêves, loin de là. Trop de responsabilités pour un gars de son âge, tout le monde le sait, il a eu le job grâce à son père, pas son expérience.
habitation : suite de luxe au roundtree, l'hôtel de son père. Il possède aussi un appartement à Manhattan et un atelier de peinture dans les hamptons dans lequel il crèche à l'occasion. Squatte aussi pas mal les lits des autres.
· Re: (lizzie), and cry through the night. Dim 28 Nov - 19:39
And cry through the night
-- ft / @Lizzie Clarke tw : drogues, alcool. Faire la fête, tout faire pour perdre la raison, entre l’alcool et la drogue, c’était devenu son lot quotidien à Hasan. Il avait fini par se persuader qu’il avait besoin de ça le brun, que c’était son seul moyen de fuir un quotidien qu’il ne supportait plus. Il avait l’impression de se sentir mieux comme ça, au moins pour le temps que la fête pouvait durer, parce qu’indéniablement, la rechute était toujours difficile à encaisser. Mais il s’en fichait le brun, parce qu’il allait mal de toute façon. Il pouvait bien supporter la rechute qui venait après l’euphorie, parce qu’au final, ça ne changeait pas beaucoup de ce qu’il ressentait au quotidien. L’euphorie, elle, ça le changeait pas contre, ça lui faisait du bien. Pendant un moment, il se sentait mieux, il se sentait libre. Une liberté aussi éphémère qu’illusoire. Clairement, il était à côté de ses pompes avec tout ça et il ne s’en rendait même pas compte. C’était sans doute ce qui était bien avec toute cette merde. Le fait de perdre le contact avec la réalité, de ne plus se soucier de rien. Pendant quelques instants, c’était presque comme s’il n’avait plus le moindre problème. C’était ça qu’il cherchait Hasan. Cette sensation de ne plus avoir tout ses soucis à supporter. Pourtant, il ne faisait que s’en ajouter un de plus de problème, parce que la drogue n’était une solution à rien du tout, juste une emmerde de plus dans sa vie, mais il ne s’en rendait pas vraiment compte.
C’était aussi un problème pour ses proches, parce qu’il n’avait pas pensé une seule seconde que venir frapper à la porte de son cousin et de sa fiancée au beau milieu de la nuit pouvait être dérangeant. C’était égoïste, clairement. Mais il n’avait pas réfléchi. Finalement c’était Lizzie qui lui avait ouvert, même pas son cousin. C’était dire à quel point il abusait. Ils faisaient une pause, Dexter et Lizzie, apparemment. « Pourquoi ? » Il demanda, comme si c’était ses affaires. Dans le fond, ça ne le concernait pas du tout, mais il n’était pas en mesure d’en prendre conscience le brun. Lizzie et Dexter, ça matchait bien pourtant, d’après lui en tout cas. Mais il fallait croire qu’il avait loupé bien des choses quand il avait été en prison. « Hm, ça me dit quelque-chose, ça. » Son cousin, au dessus de sa boutique. Dans les Hamptons à deux heures d’ici. Il en avait entendu parler à un moment, mais pour le coup, l’info, il l’avait oubliée. Peut-être qu’il l’aura oubliée à nouveau demain. « Faut en profiter tant qu’on est jeune. » Il répondit à la remarque de la blonde. Se mettre en danger, c’était sans doute ce qu’il cherchait dans le fond. Jouer avec le feu jusqu’au moment où il finirait par vraiment se brûler, c’était tout ce qu’il voulait Hasan. Appel à l’aide désespéré que personne n’entendait. « Merci. Je crois pas que je pourrais rentrer chez moi de toute façon. » Il était au moins assez réaliste pour s’en rendre compte Hasan. Il aurait plus vite fait de se perdre dans les rues de New-York que de rejoindre son appartement. Il pourrait prendre un taxi cela-dit, mais maintenant qu’il était posé sur ce canapé, il n’avait plus la force de bouger. Alors il était bien content que Lizzie le laisse rester, même s’il l’avait réveillée au beau milieu de la nuit. « Non, t’inquiètes, il sait même pas que je suis dans le coin. » Il n’avait prévenu personne, avant de mettre les voiles pour New-York. En plus, il n’avait pas envie de l’inquiéter au beau milieu de la nuit. Il le verrait quand il retournait dans les Hamptons et sans doute qu’il ne lui parlerait même pas de cet incident. Il laissa échapper un léger soupire suite à sa question. Toujours la même histoire, la fête, l’alcool, la drogue. « Juste une rave party, c’était plutôt sympa, mais on en ressort rarement frais. » Il en était la preuve. Il avait passé un bon moment, ou au moins en avait-il l’impression. Le plus dur, c’était toujours l’après, quand il fallait se remettre de tout ce qui avait été avalé.