time to pretend est un forum city simple où le jeu se base principalement sur les Hamptons. Le but du forum n'est autre que de se faire plaisir, faire de nouvelles rencontres, de se poser un peu sans pression ni prise de tête et de rp tranquillement. Peu importe le personnage ou l'avatar choisi, vous serez le·a bienvenu·e parmi nous. Ce forum, on veut le construire et le développer avec vous. Ici, vous êtes à la maison.

 (jill), what will it be like when my pain is gone.


Hasan Pravesh
MEMBRE ☆ lustgive me the shivers
Hasan Pravesh
MEMBRE ☆ lust
give me the shivers
Duplicity
messages : 1102
rps : 59
pseudo : sweet poison (anaïs).
pronom irl : elle.
id card : avan jogia (sweet poison)
multicomptes : roshan (riz ahmed).
faceclaim : (jill), what will it be like when my pain is gone. UwEE5zj7_o
age : vingt-cinq ans, jeunesse dorée et enviée par beaucoup ; vingt-cinq ans qu'il maudit sa propre existence, lui.
statut civil : célibataire, du genre à ne vivre que d'histoires sans engagements en se moquant des conséquences. Réduit à payer pour ça parfois, énième provocation contre son patriarche.
orientation : pansexuel, aime les gens, ce qu'ils sont, pas leur genre, c'est juste une étiquette dont il se fiche. Pas totalement assumé, petit secret bien à lui qui, il espère ne viendra pas aux oreilles de son père ; serait bien capable de gâcher ça.
occupation : chargé des relations publiques pour la chaîne d'hôtel de luxe de son père. Pas le métier de ses rêves, loin de là. Trop de responsabilités pour un gars de son âge, tout le monde le sait, il a eu le job grâce à son père, pas son expérience.
habitation : suite de luxe au roundtree, l'hôtel de son père. Il possède aussi un appartement à Manhattan et un atelier de peinture dans les hamptons dans lequel il crèche à l'occasion. Squatte aussi pas mal les lits des autres.
pronom ig : il.
disponibilités : disponible
[■■□□□]
arlo
dexter

trigger : cruauté animale, inceste, viol, scène de sexe explicite.
warning : drogue, accident de voiture, abus d'alcool, prison, deuil, cancer, dépression, automutilation

Revelations
· (jill), what will it be like when my pain is gone. Jeu 9 Déc - 19:49
What will it be like when my pain is gone.

-- ft / @Jill Altman
tw : dépression
Il avait fait de son mieux pour esquiver les rendez-vous avec le docteur Altman le brun. Clairement pas motivé à l’idée de passer des heures à raconter sa vie à un psy. A quoi bon ? Il avait l’impression que ça n’allait servir à rien. Rien de bon en tout cas. Il avait peur qu’on lui dise qu’il était un cas désespéré pour qui on ne pouvait rien. Qu’on lui dise que tout ses problèmes ne venaient que de lui et que pour tout le mal qu’il pouvait ressentir, il ne pouvait qu’en vouloir à lui-même. Peur de ressortir de là-dedans bien plus mal qu’avant d’y entrer. Il la connaissait un peu pourtant, cette psychologue, parce qu’elle l’avait suivi derrière les barreaux et elle n’avait jamais rien dit l’ayant froissé ou blessé. Mais ça ne suffisait pas à faire taire les peurs qu’il nourrissait. Pourtant il le savait bien dans le fond, qu’il avait besoin d’aide. Il avait juste du mal à l’accepter l’aide. S’il avait fini par accepter de venir à ce rendez-vous, c’était sans doute grâce à Arlo, parce qu’elle avait proposé de l’accompagner. Et encore, le docteur Altman avait dû insister par message pour qu’il accepte de venir. Au moins, Arlo l’avait accompagné. Il ne savait pas si se retrouver avec son ex dans la salle d’attente c’était la chose la plus idéale, mais c’était mieux que tout seul. Sans doute que si elle n’avait pas été là, il aurait pris la poudre d’escampette avant que ce ne soit son tour, trouvant une énième bonne raison de prendre la fuite. Il était si doué pour ça après tout. Finalement, la brune avait fini par sortir de son cabinet pour l’appeler, alors il l’avait suivie à l’intérieur, après l’avoir saluée. Il s’assit dans le divan, pas forcément très à l’aise. « Vous avez vu, je suis venu. » Il souligna, presque comme s’il s’attendait à ce qu’on le félicite. Peut-être qu’il en avait vraiment besoin, ça l’encouragerait à revenir. Vu qu’il était si réticent à l’idée de venir, le moindre encouragement était bon à prendre. « Je sais même pas ce que je suis censé vous dire. » A moins que ce soit elle qui pose les questions ? Lui, il ne savait pas quoi raconter, évidemment, entrer dans le vif du sujet et dire tout ce qui n’allait pas dans sa vie, ce n’était pas ce soir que ça allait arriver.
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(jill), what will it be like when my pain is gone.
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