time to pretend est un forum city simple où le jeu se base principalement sur les Hamptons. Le but du forum n'est autre que de se faire plaisir, faire de nouvelles rencontres, de se poser un peu sans pression ni prise de tête et de rp tranquillement. Peu importe le personnage ou l'avatar choisi, vous serez le·a bienvenu·e parmi nous. Ce forum, on veut le construire et le développer avec vous. Ici, vous êtes à la maison.
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 ari, divine violence.


Hayes Buchanan
MEMBRE ☆ lustgive me the shivers
Hayes Buchanan
MEMBRE ☆ lust
give me the shivers
Duplicity
messages : 32
rps : 2
pseudo : eclipse.
pronom irl : elle.
id card : abigail, @bambi eyes.
multicomptes : kinsley & jackie.
faceclaim : ari, divine violence. 73c2478eaeae01ba31118277a68f66784fb685f6
age : vingt-quatre ans (21 septembre 1997).
statut civil : parfois en couple, d’autres fois célibataire — relation on and off depuis trop longtemps.
orientation : hétérosexuelle.
occupation : serveuse au country club — l’abandon des études universitaires, à la recherche d’un semblant d’intérêt.
habitation : 30, sag harbor w/ari.
pronom ig : elle.
code couleur : midnightblue.
nbre de mots : 300/1200 (fr/en).
fréquence rp : variable.
disponibilités : open —
en cours; lenny, ari.

terminés;

trigger : cruauté animale, violence infantile, inceste, pédophilie, viol.
warning : relation toxique/malsaine (avec sa mère + petit-copain), enlèvement, mensonge.

Revelations
· ari, divine violence. Dim 13 Fév - 20:22
— divine violence.
feat. @ari wrigley

Parfois, Hayes se demande ce qu’elle fait toujours ici alors qu’elle a le monde à découvrir. Il y a des matins où elle se réveille avec cette envie de mettre ses affaires dans une valise et se rendre jusqu’à l’aéroport pour acheter le premier billet disponible vers une destination qui lui est encore inconnue. Ces questionnements lui viennent souvent en tête lorsque le temps passe à une vitesse ridiculement lente, lorsque les clients sont tous servis et qu’elle attend le prochain pour justement secouer son quotidien légèrement ennuyant.
Étonnamment, aujourd’hui, cette question ne lui vient pas sur les lieux du travail, elle lui vient sur le chemin du retour entre la librairie et l’appartement partagé avec Ari, sa tortue Holmes et son chat, Ghost, ses deux bêtes considérés comme des enfants. Elle lui vient lorsqu’elle entend une personne parler de son plus récent voyage en Europe ou ailleurs, Hayes n’est pas trop certaine du détail. Hayes jalouse cette personne de pouvoir partir et voir le monde, d’être dans la capacité de se payer un billet d’avion pour une autre destination qui n’est pas ici. Hayes la jalouse tout en se permettant de la juger de ne pas savoir ce que c’est de vivre dans le monde réel ; celui où la majorité de la population se doit de bosser afin de subvenir à leurs besoins. Celui où elle n’a pas le choix de travailler fort dans le simple but d’obtenir ce qu’elle convoite, où elle ne peut pas s’offrir ce qu’elle veut en un simplement claquement de doigts. Deux sentiments contradictoires, prise entre la jalousie et la haine à son égard de vivre dans un monde où tout est beau, où tout est facile. Deux sentiments qu’Hayes n’est pas dans la capacité de ne pas ressentir sur le coup. Deux sentiments qui continuent de la hanter même après s’être éloignée de cette conversation passagère, entendue au détour d’une ruelle.  Marquée en elle.
Quelques minutes plus tard, Hayes passe devant un couple beaucoup trop affectueux à son goût et cette fois, il n’y a qu’un sentiment ressenti : le dégoût. La seule différence est qu’eux, elle les oublie rapidement, elle n’oublie pas la première conversation. Finalement, elle arrive devant son immeuble et commence à monter les escaliers, une à une, les bras qui serrent les livres contre sa poitrine. À sa surprise, elle tombe sur Ari, dans l’appartement et la surprise est impossible à contenir. « Hey, tu es là, je ne m’attendais pas à ce que tu sois ici à cette heure. » Qu’elle lance en premier à Ari avec un sourire, heureuse de le voir, malgré tout. S’approche doucement de lui et dépose ses lèvres sur sa joue pour un baiser rapide et délicat puis Hayes porte son attention sur Ghost, qu’elle prend dans ses bras et caresse le pelage doucement. « Je me disais ce soir, on pourrait sortir un peu, aller passer la soirée ailleurs. Que tous les deux, qu’est-ce que tu en penses ? » Demande la rousse sans le regarder, les pas se dirigeant jusqu’à la cuisine où elle se sert un verre d’eau. Ce n’est qu’après avoir pris une gorgée qu’elle se décide à lui faire face et le regarder dans les prunelles des yeux. « Pas que ça a de l’importance, mais demain c’est la Saint-Valentin... » Qu’elle laisse flotter dans les airs alors qu’au fond, Hayes se moque royalement de cette fête.
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Ari Wrigley
MEMBRE ☆ pridenever ever giving up my pride
Ari Wrigley
MEMBRE ☆ pride
never ever giving up my pride
Duplicity
messages : 8
rps : 1
pseudo : monsieur tortue (marine).
pronom irl : elle.
id card : freddy carter + ethereal (avatar), solosands (signature).
multicomptes : min-hyuk (kim seonho).
faceclaim : ari, divine violence. C2YoBtPZ_o
age : ça fait vingt-six ans qu'il erre sur cette terre, incertain de la route à suivre. (27 juillet 1995)
statut civil : intermittent de l'amour. non. en couple par intermittence. plutôt. il l'aime pourtant, mais les disputes se succèdent. ils se rabibochent, puis ça recommence.
orientation : les femmes, les hommes, peu importe. il n'y en a qu'une qu'il veut.
occupation : la musique, ça le fait vibrer. ingénieur du son, la plus part du temps. musicien à ses heures perdues.
habitation : à sag harbor avec celle qu'il aime ou déteste en fonction des heures du jours et de la nuit.
pronom ig : il.
code couleur : #ff9966.
nbre de mots : entre 500 et 700 environ.
fréquence rp : variable.
disponibilités : ■■□□ open
en cours : hayes.
à venir : hardy boys.

warning : haptophobie, relation toxique, abus physiques & sexuels, décès.

Revelations
· Re: ari, divine violence. Jeu 24 Fév - 12:17
— divine violence.
feat. @Hayes Buchanan
tw : haptophobie

Assis sur l’accoudoir du sofa - parce que pourquoi s’assoir confortablement sur les coussins quand on peut se retrouver avec l’arête du canapé entre les fesses - Ari gratte nerveusement sur sa guitare. Il est contrarié et tente vainement d’évacuer sa frustration. Le maître des lieux a bien noté son agacement et l’évite ouvertement ce qui ne le surprend pas du tout. Il faut dire que ce chat est comme sa maitresse, il l’aime quand ça l’arrange. Pensée furtive qui ne fait que l’ennuyer davantage. Il le sait pourtant que leur relation a toujours été très mouvementée, mais ça l’énerve de le reconnaitre. Parce que, même quand ils sont dans des zones très creuses, Ari il l’aime Hayes. Ses mots, il ne les maitrise pas toujours et ils dépassent souvent sa pensée, mais … mais quoi ? Il les regrette systématiquement. Ça ne justifie rien, il le sait que trop bien. Il secoue la tête, s’acharnant un peu plus sur les cordes de sa guitare. Pourquoi est-ce qu’il pense à tout ça maintenant ? Il se fatigue. Tout ça à cause d’un concert annulé. Il ne devrait pas être à la maison Ari. Il devrait être dans sa régie à préparer le concert de ce soir, à tester le son des instruments sur scène. Mais en soit, ce n’est pas réellement ça le problème. Que les artistes aient chopé une belle infection alimentaire, il s’en moque pas mal. On annule l’événement pas de souci. Mais non. Ils ont décidé de le décaler. En soit, encore une fois, okay, pas de mal. Sauf qu’ils l’ont déplacé au lendemain. Le quatorze février. Et, c’est là, le fond de son agacement. Parce qu’il n’aime pas quand les choses ne se déroulent pas comme prévu, Ari. En huit ans, c’est probablement la première fois qu’il planifie quelque chose pour la Saint-Valentin. Une surprise pour Hayes. Parce qu’ils ne sortent plus autant qu’avant ces derniers temps. Parce qu’il y a eu un peu plus de bas que de hauts dernièrement. Parce qu’il se sent coupable de ne pas toujours supporter le contact de sa peau sur la sienne. Il ne dit rien, il encaisse silencieusement, mais sa honte vient du dégoût qu’il ressent. Parce que ça l’insupporte d’avoir ce genre de sentiments à son égard. Alors, Ari, il leur avait concocté une petite soirée en tête à tête, comme ils avaient l’habitude d’en faire au tout début. Soirée qui est tombée à l’eau avec l’indigestion du taco maudit.

Il n’entend pas Hayes rentrer à la maison. Il est parti beaucoup trop loin dans sa tête pour capter le son de la porte qui se claque. Il n’entend déjà pas le son de sa propre gratte. C’est sa voix qui le sort de ses rêveries. Il sursaute légèrement quand elle dépose un baiser sur sa joue. Son corps entier se tend sous son contact et il arrête de jouer subitement, laissant son geste en suspens. Les mots qu’elle a prononcé quelques secondes plus tôt mettent un moment à percuter son cerveau. Ari se lève et dépose sa guitare sur son socle. « Les artistes sont malades, le concert a été reporté, » dit-il en fronçant légèrement son nez, incapable de cacher son agacement. Il pose le bas de son derrière contre le dossier du canapé et regarde Hayes prendre son chat dans ses bras. Une vision qui lui tire un demi-sourire. Il s’apaise en sa présence. Elle se retourne pour aller dans la cuisine tout en lui parlant. Son regard ne la lâche pas d’une semelle. Il aime sa proposition même s’il aurait préféré qu’elle vienne de lui. Après tout, il l’a eu aussi cette idée. Et dans le fond, il a l’impression d’avoir quelque chose à prouver. Lui aussi, il est investi dans cette relation. Lui aussi, il veut passer du temps avec elle. Et puis, elle se retourne pour le regarder droit dans les yeux. Ses mots se suspendent dans l’air entre eux. Pas que ça a de l’importance, mais demain c’est la Saint-Valentin... Le sous-entendu est bien trop clair dans ses oreilles. Ses mains se resserrent sur le dossier du canapé, sa mâchoire se crispe. Il pourrait lui dire qu’il avait prévu quelque chose, mais sa fierté l’en empêche. A quoi bon vu que de toute façon, il devra bosser. « Tu veux faire quoi ? » lui demande-t-il à la place, tentant de lisser son humeur. Parce qu’après tout, bien sûr qu’il est partant Ari. Maintenant, est-ce que ça se voit ? C’est moins sûr.
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ari, divine violence.

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III / THE HAMPTONS.

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