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 cameron / self-deprecation, new age medication


Heathcliff Coleman
MEMBRE ☆ envyfill up the void with polished doubt
Heathcliff Coleman
MEMBRE ☆ envy
fill up the void with polished doubt
Duplicity
messages : 88
rps : 9
pseudo : hesperos
pronom irl : she/her, elle
id card : sam claflin, © .wesleynator (av), @lovibond (gif) ; andrew belle (lyrics), foolish blondie (crackship)
faceclaim : cameron / self-deprecation, new age medication EsRBvZ0s_o
age : ( trente-cinq ans ), le début de la fin, la carrière qui vole en éclats. trop vieux, trop nerveux, trop tout. - 19 avr.
statut civil : ( célibataire ), toujours trop occupé à autre chose, heath, trop obnubilé par un record qu'il n'atteindra jamais, il a laissé la vie passer sans se préoccuper d'être accompagné très longtemps.
orientation : ( bisexuel), les mots jamais prononcés, les allusions parfois glissées, l'air de rien, l'espoir qu'on comprenne, l'espoir d'en faire ainsi moins un évènement qu'un simple fait.
occupation : ( professional swimmer ), le titre auquel il se raccroche malgré des mois de retraite — poussé vers la sortie, really. un scandale dans son sillage et son nom moqué sur tous les réseaux, il aura eu plus d'impact après que pendant sa carrière.
habitation : plus à l'aise en pleine ville, heath, il n'a pas quitté new york, ne faisant que passer de logement en logement, toujours plus vaste, toujours plus cher. cela fait désormais quelques années qu'il est à ( manhattan ), 10013 TriBeCa.
pronom ig : il
code couleur : #ca7a7f
nbre de mots : 500-1500
fréquence rp : variable
disponibilités : closed [ headan #1 // adam // cameron // dinah // moe ]
trigger : violences sexuelles, violences sur animaux, suicide (détaillé), xénophobie/islamophobie
warning : parent abusif (psychologiquement), dévalorisation de soi, problèmes de gestion de la colère, dépression, cyberharcèlement/harcèlement médiatique

en vrac :
père psychologiquement abusif et constamment insatisfait de tous les aspects de la vie d'heathcliff. // diplôme d'architecte (université de columbia, ny) sur une bourse de natation. // championnats, mondiaux, interviews, plateaux télévisés, publicités et magazines, il a été partout pendant près de quinze ans. // extrêmement complexé, estime de lui plus basse que terre. échec ou réussite, il est toujours persuadé de ne pas en faire assez. // il a toujours été le sportif nerveux que l'on aime détester. // son agent lui a parlé de retraite et il a disjoncté, saccagé son bureau et a été sortie de force par la sécurité. battage médiatique, poursuites judiciaires, injonction d'éloignement, obligation de consulter. ce fut également le début de harcèlement en ligne: une vidéo de son esclandre circule en ligne, on en fait des memes, on l'insulte, les paparazzis continuent de demander des réponses et de lui fourrer leurs caméras sous le nez. // le plus douloureux: la réalisation d'être plus connu pour le scandale que pour sa carrière.

ne porte jamais ses lunettes en public -- quelques tatouages pour porte-bonheurs -- William Bell est son artiste préféré -- relation compliquée avec la cigarette, on-again off-again lorsqu'il est stressé -- personne ne l'appelle pas son prénom complet, toujours heath -- a désactivé la plupart de ses comptes sur les réseaux sociaux, et passé son instagram en privé -- parle français -- ne boit pas, ou boit trop, pas de milieu -- sa résidence des hamptons devait être pour sa mère, lorsqu'elle aurait quitté son père, elle n'en a rien fait. elle a toujours une clé, mais c'est heath qui en profite -- un chat, shelby, seize ans. un cockapoo, trois ans, dolores -- a la tricherie en horreur, préfère encore être malade de perdre plutôt que de se savoir coupable de dopage, de tricherie

Revelations
· cameron / self-deprecation, new age medication Lun 10 Jan - 13:37
- oh no, here we go, here we go again,
another boy who's unsure that he's got a friend -

ft. @cameron clarke


Il a opté pour le look casquette et lunettes de soleil, comme dans les films, effort dérisoire, costume risible. Et, le pas rapide, les yeux baissés, la tête rentrée au maximum dans les épaules, il file vers l'ascenseur comme s'il était poursuivi. Ce n'est pas le cas, mais ce n'est toujours qu'une question de temps, ces derniers mois, quoi que la nouvelle année l'ait rendu un brin moins intéressant — old news. Il ne prend pas le risque d'être reconnu, appelé, interrogé, suivi, photographié (insulté, humilié, and so on). Il aurait probablement dû envoyer quelqu'un faire les magasins pour lui, ça lui aurait évité un stress bien inutile, mais il s'est déjà trop entendu dire de "faire des efforts", Heath, "se forcer à sortir", "oser se confronter à la situation". Se confronter, il préfère le faire depuis son canapé, la sécurité de son appartement, le nez collé à l'écran du téléphone tandis qu'il fait défiler les derniers articles de tabloïds postés à son sujet, les nouveaux tweets qui ne le lâchent toujours pas. S'il n'est plus poursuivi dès la sortie de son immeuble, si on ne l'attend plus de pied ferme partout où il passe, caméra au poing et micros tendus, il n'est pas pour autant sorti d'affaire, et les messages continuent d'affluer, les courriers haineux qu'il a promis à déjà deux spécialistes de ne plus ouvrir, de faire trier par quelqu'un d'autre, s'empilent toujours, bien ouverts, sur sa table basse. Il ne s'en sortira pas comme ça, il sait, il sait. Qui dit qu'il en a envie ?
Ses achats dans une main, il se glisse entre les portes à peine entrouvertes de la cabine d'ascenseur sans attendre que d'éventuels passagers en sortent. Il entreprend de s'adosser à distance de l'unique occupant, mais à peine les portes se sont-elles refermées dans son dos (après qu'il ait appuyé rageusement sur le bouton de fermeture à plus de reprises que nécessaire) qu'il entend quelque chose tomber, ou se bloquer, ou… Et une secousse se faire ressentir. « C'est une vanne », il commente pour lui-même, entre ses dents. Il se retourne, appuie à nouveau, sur un autre étage, sur le bouton d'ouverture. Une lumière clignote au dessus de sa tête. « Non, non, put... C'est pas possible. » Son poing s'abat sur la porte, sans conviction. Il a au moins une vague notion de qui gagnerait entre l'épaisseur de métal et lui. Soupir, inspiration, il ne manquait plus que ça. Heath, il se tourne vivement vers la silhouette aperçue du coin de l'œil en entrant dans la cabine, et complètement ignorée jusqu'ici. Prêt à lui aboyer dessus (faites quelque chose, vous allez rester planté là ?), il ouvre la bouche mais aucun son n'en sort alors qu'un nom lui vient à l'esprit en croisant le regard de ce pas-si-inconnu. « Clarke ? » Cameron Clarke, parce que qui d'autre, parce que depuis quand a-t-il de la chance, parce qu'il fallait bien que les choses s'enveniment encore un peu plus en cette ô si joyeuse journée. Il est pourtant certain que ses sentiments négatifs envers Cameron sont one-sided, autant qu'ils sont infondés. Il en sait trop, simplement, il a compris trop vite, trop bien. Et aujourd'hui, aujourd'hui que tout lui a explosé à la figure, Heathcliff, il n'a vraiment pas besoin de faire face à celui qui aurait sans doute pu le prédire, celui qui a dû le voir venir, celui dont les conseils auraient même pu éviter le pire, qui sait ? Sa langue passe sur ses dents, il a envie de rire nerveusement, mais ses lèvres se pincent et il ne dit rien. Même lui n'a pas le cœur à se montrer désagréable avec les Clarke, plus maintenant. Il croit bien qu'il a fait envoyer des fleurs, quand le drame les a touchés, mais il ne les a pas revus.
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Cameron Clarke
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Cameron Clarke
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messages : 239
rps : 21
pseudo : manon
pronom irl : she, her, hers (elle)
id card : o. jackson-cohen, av. avatars&crap, gif. josshelps, crack. irish coffee (dinah) ♡ , lyrics. joni mitchell (both sides now)
multicomptes : jordan (g. chan)
faceclaim : cameron / self-deprecation, new age medication 3f9056814272e54d4c9ba22b0160739afcacb40e
age : thirty one and feels like a failure for not being as known as his father was at his age.
statut civil : doesn't really know what he should say. not entierely divorced yet since he can't bing himself to sign these damn papers and separated seems too final for him. still hasn't given up on wining her back, though, still there's love in their marriage and maybe, just maybe, he can make her forgive him for being such a bad husband these past few years.
orientation : straight even if it's just a word and he hasn't really given any thoughts about it. so far, he's only been with women, that's all he knows but maybe it is because he hasn't met the right guy (or maybe he is, in fact, not interested in them).
occupation : co-owner of clarke's mag, the little empire he created with his sister liz. he's also in charge of the legal aspect of the mag.
habitation : #247 manhattan, city house he used to share with dinah but she chose to go live on their hampton's one. he feels lonely in these walls full of tender memories and expectations.
pronom ig : il (he, his, his)
code couleur : #18548D
nbre de mots : adaptable (500 et 1500 en moyenne)
fréquence rp : uniquement le week-end
disponibilités : [ c l o s e ]
dinn #2 -- jackie -- heath

trigger : inceste, viol, violences conjugales (physiques et psychologiques)
warning : deuil, décès, addiction (antidépresseurs), basse estime de soi, déprime profonde

en vrac :
issu d'un premier mariage de monsieur clarke, finalement élevé par ce dernier et sa deuxième épouse parce que la mama préférait ne pas avoir à s'occuper d'un enfant. // vision désastreuse mais préfère baisser plutôt que mettre des lunettes. // rêves démesurés, ambitions infinies. l'achèvement par le succès, que son nom soit sur toutes les lèvres. // harvard comme école de droit pour le prestige plus qu'autre chose. // n'accepte pas de ne pas être le meilleur dans tous les domaines. phobie de l'échec, trouble anxieux généralisé. // face caché du clarke's mag. // mariage de convenance, mariage logique et réfléchi, les sentiments sont pourtant bien réels, l'ont toujours été. qu'elle soit son parfait alter-ego était juste un joli bonus. // culpabilise du décès de son petit frère, persuadé que l'overdose est à cause de lui. // victime de crises d'angoisses régulièrement. // gros fumeur. // trop de fierté pour admettre trop de choses et notamment avoir peur devant les films d'horreur. // coffee addict et pourrait damner mère et père pour un bon pudding. // sait jouer du violon et vaguement du piano (davantage pour le prestige que par réel intérêt pour la musique). // lecteur peu assidu, les classiques français ont toutefois son intérêt. // n'a jamais mis les pieds sur le moindre lieu touristique pour ne pas avoir à faire face à la foule.

Revelations
· Re: cameron / self-deprecation, new age medication Jeu 3 Mar - 12:24
self-depreciation, new age medication —
@heathcliff coleman

L’impression de courir d’un rendez-vous à l’autre sans jamais réussir à prendre le temps de ralentir le pas, de prendre le temps de calmer les choses pour se concentrer sur l’essentiel — c’est presque davantage pour avoir une excuse face au psychiatre que par réel désintérêt. Parce que Cam, il voudrait pouvoir souffler, avoir le pas qui se fait plus traînant à chaque fois qu’il passe devant une bijouterie et que ses yeux voudraient attirer son attention sur un bracelet fin ou un nouveau collier à acheter, et offrir, à Dinah — parce que Cam, il l’a senti, ce léger changement, cette petite lueur d’espoir et d’amour qui a plané entre lui et elle, au mariage. She still loves him, il se permet d’y croire, de s’y raccrocher et c’est bien ce qu’il refuse de parler, divulguer, admettre, au professionnel qui n’attend pourtant que ça. Ce pas en avant qui engendrerait alors d’autres questions, comme elle l’a si bien souligné elle-même. C’est qu’il ne suffit pas d’admettre qu’elle lui manque pour qu’elle lui revienne, pour que les choses redeviennent comme avant ; ses promesses n’ont pas été assez pour qu’ils retrouvent l’harmonie du couple et des premières années. Il faut encore les discussions, les admissions qu’il ne sait pas comment aborder (cette tempête dans son coeur et son crâne et son être à chaque fois qu’il y pense, qu’il entame un premier message pour évoquer Bastian et la douleur et la culpabilité et ces mots, ces quelques mots, qui le hantent depuis cinq ans, maintenant). Alors il se convainc que s’il n’achète rien pour son épouse, il peut encore repousser le moment où il devra parler de ce rapprochement à celui qui l’écoute tous les quinze jours (officiellement, la réalité espace davantage les rendez-vous et c’est plus de l’ordre d’une séance par mois, finalement) et donc, les questions qui en découleront. Il profite néanmoins de quelques secondaires dans un ascenseur pour s’adosser au mur, sortir son téléphone et, comme presque tous les jours depuis un mois, commencer un message qu’il efface aussi vite, les mots pas assez forts, les mots un peu trop vides de sens et trop creux et pas ceux qu’il voudrait avoir. Il souffle, laisse son crâne rencontre la cloison et ferme les yeux même lorsque les portes s’ouvrent, entend quelqu’un le rejoindre dans la cabine et il inspire, Cameron, avant de soulever les paupières. La silhouette qui lui tourne le dos s’acharne sur les boutons de commande et il fronce les sourcils, Cam, voudrait lui dire que ça ne sert à rien mais préfère laisser tomber, avant de plisser les yeux, pencher la tête et enfin reconnaître Heathcliff Coleman. Qui ne semble pas l’avoir vu, pas encore, ou peut-être qu’il a simplement décidé de l’ignorer — ce ne serait ni étonnant, ni la première fois, leurs brèves rencontres toujours écourtées par le sportif. Il envisage de dire quelque chose, se faire connaître de l’autre, engager la conversation qu’il ne pourra pas fuir tout de suite mais une secousse l’en empêche et l’ascenseur s’arrête complètement. Il se redresse légèrement, Cameron, n’a pas le temps d’empêcher Heath de frapper, comme un rappel de ce qui est à l’origine de la fin de sa carrière. Il pince les lèvres, Cam, s’abstient du moindre commentaire (pour le moment), conscient au moins un peu que ses remarques aussi désobligeantes que sarcastiques ne pourraient pas être bien perçues. Il n’a déjà jamais su accepter le moindre conseil, Coleman, comment pourrait-il en être de moqueries non déguisées ? « That’s still my name last time I checked, yeah. » Pour autant, il ne peut pas se montrer totalement sous un bon angle, sans ironie ou tendance pernicieuse en arrière-fond et il s’approche du panneau de contrôle pour plutôt essayer de déclencher l’alarme. « How’s the hand? » Un regard en coin aux phalanges du nageur qu’il devine rougies par le coup administré au métal avant de constater qu’il n’y a pas de sonnerie qui se déclenche, personne pour répondre et rassurer et leur dire quoi faire — non pas qu’il pense qu’il y ait grand-chose à faire, en réalité. « We should try again in a few minutes. » Il recule déjà pour reprendre sa position initiale, la voix calme et composée pour essayer d’apaiser la colère qu’il devine dans la posture de Coleman, pour faire taire les remerciements quant aux fleurs envoyées après Bastian — pas envie d’évoquer son petit frère, aujourd’hui.
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