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 if you were on fire and i had a glass of water, i'd drink it (w/cameron).


Jackie Byrde
MEMBRE ☆ pridenever ever giving up my pride
Jackie Byrde
MEMBRE ☆ pride
never ever giving up my pride
Duplicity
messages : 194
rps : 16
pseudo : eclipse.
pronom irl : elle.
id card : margot, @bambi eyes.
multicomptes : kinsley & hayes.
faceclaim : if you were on fire and i had a glass of water, i'd drink it (w/cameron). 3cff95d7013d105abc9fd23c49a4a0871e363793
age : trente ans (13 août 1991).
statut civil : fiancée séparée.
orientation : bisexuelle.
occupation : journaliste à vogue.
habitation : 30, southampton (apt) hamptons — 91, manhattan (loft) new york.
pronom ig : elle.
code couleur : rosybrown.
nbre de mots : 300/1200 mots (fr/en).
fréquence rp : variable.
disponibilités : closed —
en cours; cameron, matt, jaejun, owen, the byrdes.

terminés;

trigger : cruauté animale, violence infantile, inceste, pédophilie, viol.
warning : élitisme, mort-né, infidélité, divorce, séparation.

Revelations
· if you were on fire and i had a glass of water, i'd drink it (w/cameron). Lun 22 Nov - 5:30
— if you were on fire and i had a glass of water, i'd drink it.
feat. @cameron clarke

Il y a des moments, dans une vie, ou plutôt dans sa vie, où Jackie se demande ce qu’elle fait exactement ici, dans cette petite boutique qui vient d’ouvrir ses portes. Pour être honnête, ce n’est pas un article pour lequel Jackie s’est battu d’obtenir, mais un qui s’est déposée sur son bureau parce que la première personne assignée est malade. Bien sûr que sa conscience lui a soufflé à l’oreille ; évidemment que sa collègue est ‘’malade’’ le jour J. Le jour où elle doit se rendre sur place et essayer d’obtenir un interview avec un des propriétaires des lieux. Pour être honnête, Jackie a râlé. Elle a râlé comme cette gamine de cinq ans qui doit exécuter une tâche qu’elle n’a pas envie de faire. Mais contrairement aux années de son enfance, Jackie ne peut pas compter sur une gouvernante pour ramasser son dégât. Elle ne peut pas se fier sur une autre personne pour accomplir la tâche, pour nettoyer sa maladresse. Parce qu’à la base, ce n’est pas sa maladresse. C’est sa malchance. Son besoin d’être celle avec le nom le plus souvent imprimé sur les pages du magazine. Son besoin d’être la meilleure, d’être mieux que les autres. Sa propre ambition qui lui dit qu’elle ne peut pas avoir tous les articles qu’elle veut et qu’il y a des moments, où Jackie doit se coltiner une douleur au postérieur. Foutu ambition. Mais c’est tout ce qu’il lui reste en ce moment à Jackie, son emploi ; son ambition d’être la meilleure, d’être enfin la fierté de son père. De pouvoir lui annoncer un jour qu’elle dirige ce magazine pour lequel elle bosse, lui qui aurait peut-être souhaité que sa fille prenne un chemin différent. Un chemin plus politique, plus médicale. Jusqu’à ce que ce jour se réalise, Jackie encaisse ce qui s’offre sur son chemin. En silence. La reconnaissance fausse. Les poings serrées. Elle encaisse parce que Jackie sait qu’elle doit faire pour réaliser son rêve absolu. Pour être au sommet.
Jackie, elle n’a pas la tête à côtoyer un public en ce moment. Les traits sont tirés, la perfection habituelle n’est plus présente depuis sa dernière conversation d’avec Elias. Depuis cette soirée où il est venu au loft qu’ils partageaient, à un moment, tous les deux. Ce loft qu’elle occupe lorsqu’elle n’est pas aux Hamptons pour s’évader du rythme effréné de la ville. Car c’est dans les Hamptons qu’elle trouve ce calme dont Jackie est à la recherche depuis un moment. C’est dans cet appartement où elle s’est recollée petit à petit qu’elle trouve les mots pour terminer un article, pour écrire. Néanmoins, Jackie répond présente, malgré tout. De sa plus belle tenue, de ce faux sourire aux lèvres, elle se fraye un chemin parmi les nombreuses personnes pour se ramasser là où il y a un mini silence qui existe. Là où elle peut se permettre de se secouer — mentalement — afin de ne pas afficher une mine indiquant de ne pas s’accrocher. Ce n’est pas sa réputation qui est en jeu, elle s’en fout de sa réputation immaculée, Jackie, mais c’est celle de Vogue US. C’est ce magazine qu’elle représente en ce jour important. Dans son coin, Jackie regarde les personnes présentes, reconnaît la majorité des gens. Il y a une raison pour laquelle tout le monde se trouve ici, une personne importante ouvre une boutique de vêtements et bien sûr, tout le monde désire avoir un papier à offrir à son éditeur en chef. Les perles bleutées qui continuent de scruter les visages, les traits, offrant quelques sourires aux personnes qui croisent son regard. D’un coup, il apparaît dans son champ de vision, Jackie ne peut s’empêcher de pousser un soupir s’échappe de sa bouche. Un peu plus et ses yeux se roulent dans ses orbites, d’exaspération. « Pourquoi est-ce que je ne suis pas surprise de te croiser ici ? » Elle est la première à briser ce silence car Jackie ne supporte pas le silence aujourd’hui. Elle supporte le calme, mais pas le silence. Elle ignore la raison pour laquelle c’est à Cameron qu’elle s’adresse tandis qu’il y a, minimum, dix personnes qu’elle connaît dans ces lieux. « Ton petit magazine est toujours en vie ? Ou est-ce qu’il commence doucement à mourir ? » La première attaque, pas la dernière. Comme toujours. Comme un disque rouillé. La facilité qu’elle a, Jackie, à lancer ce missile dans sa direction en sachant qu’il peut très bien y survivre tout en restant intact.
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Cameron Clarke
MEMBRE ☆ envyfill up the void with polished doubt
Cameron Clarke
MEMBRE ☆ envy
fill up the void with polished doubt
Duplicity
messages : 239
rps : 21
pseudo : manon
pronom irl : she, her, hers (elle)
id card : o. jackson-cohen, av. avatars&crap, gif. josshelps, crack. irish coffee (dinah) ♡ , lyrics. joni mitchell (both sides now)
multicomptes : jordan (g. chan)
faceclaim : if you were on fire and i had a glass of water, i'd drink it (w/cameron). 3f9056814272e54d4c9ba22b0160739afcacb40e
age : thirty one and feels like a failure for not being as known as his father was at his age.
statut civil : doesn't really know what he should say. not entierely divorced yet since he can't bing himself to sign these damn papers and separated seems too final for him. still hasn't given up on wining her back, though, still there's love in their marriage and maybe, just maybe, he can make her forgive him for being such a bad husband these past few years.
orientation : straight even if it's just a word and he hasn't really given any thoughts about it. so far, he's only been with women, that's all he knows but maybe it is because he hasn't met the right guy (or maybe he is, in fact, not interested in them).
occupation : co-owner of clarke's mag, the little empire he created with his sister liz. he's also in charge of the legal aspect of the mag.
habitation : #247 manhattan, city house he used to share with dinah but she chose to go live on their hampton's one. he feels lonely in these walls full of tender memories and expectations.
pronom ig : il (he, his, his)
code couleur : #18548D
nbre de mots : adaptable (500 et 1500 en moyenne)
fréquence rp : uniquement le week-end
disponibilités : [ c l o s e ]
dinn #2 -- jackie -- heath

trigger : inceste, viol, violences conjugales (physiques et psychologiques)
warning : deuil, décès, addiction (antidépresseurs), basse estime de soi, déprime profonde

en vrac :
issu d'un premier mariage de monsieur clarke, finalement élevé par ce dernier et sa deuxième épouse parce que la mama préférait ne pas avoir à s'occuper d'un enfant. // vision désastreuse mais préfère baisser plutôt que mettre des lunettes. // rêves démesurés, ambitions infinies. l'achèvement par le succès, que son nom soit sur toutes les lèvres. // harvard comme école de droit pour le prestige plus qu'autre chose. // n'accepte pas de ne pas être le meilleur dans tous les domaines. phobie de l'échec, trouble anxieux généralisé. // face caché du clarke's mag. // mariage de convenance, mariage logique et réfléchi, les sentiments sont pourtant bien réels, l'ont toujours été. qu'elle soit son parfait alter-ego était juste un joli bonus. // culpabilise du décès de son petit frère, persuadé que l'overdose est à cause de lui. // victime de crises d'angoisses régulièrement. // gros fumeur. // trop de fierté pour admettre trop de choses et notamment avoir peur devant les films d'horreur. // coffee addict et pourrait damner mère et père pour un bon pudding. // sait jouer du violon et vaguement du piano (davantage pour le prestige que par réel intérêt pour la musique). // lecteur peu assidu, les classiques français ont toutefois son intérêt. // n'a jamais mis les pieds sur le moindre lieu touristique pour ne pas avoir à faire face à la foule.

Revelations
· Re: if you were on fire and i had a glass of water, i'd drink it (w/cameron). Dim 28 Nov - 19:22
if you were on fire and i had a glass of water, i'd drink it —
@jackie byrde

Il est toujours présent aux inaugurations, Cameron — quand il le peut, en tout cas. Et si Liz est généralement pas très loin, ce soir, il y est seul. Il est loin de s’en formaliser, Cameron ; ça lui évite une énième soirée sans la présence de Dinah à l’appartement de Manhattan, une énième envie d’aller la rejoindre dans les Hamptons quand il sait que ça n’aurait rien d’une bonne idée. Et si l’inauguration y avait eu lieu, sans doute qu’il aurait eu une bonne excuse pour faire un crochet par la maison secondaire, retrouver la chambre d’amis qui l’y attend sûrement (ou peut-être pas, en réalité, car elle ne peut pas l’attendre, Dinah, n’est-ce pas) — mais c’est en plein coeur de New York qu’il a rendez-vous, Cameron. Il doit y retrouver un journaliste qui prendra les notes qu’il se doit sur la nouvelle boutique, la collection, cette étoile montante du monde de la couture et de la mode tandis que lui-même s’occupera des small talks et, globalement, de faire acte de présence. Alors c’est ce qu’il fait, au final. Se dévoile présent, serre des mains et échange des mots d’une platitude effarante — à ceux qui voudraient demander comment se porte Dinah il s’efforce de ravaler la boule qui serre sa gorge pour leur répondre, à ceux qui évoque le reste des Clarke, il choisit d’ignorer les sous-entendus et les souvenirs liés à Bastian, la peur récente que leur a causé Mervyn. Il fait des efforts, Cameron, le sourire toujours plaqué sur le visage et un verre de champagne tenu dans une main. La valse des conversations touche pourtant à son terme avant qu’il ne tourne la tête, prêt à aller féliciter la tête pensante de cette soirée quand ses yeux accrochent plutôt une silhouette connue — et attendue. Il a le coin des lèvres qui se relèvent un peu davantage, Cam, tandis qu’il s’approche, jusqu’à rejoindre Jackie complètement. Son exaspération ne fait que l’amuser un peu davantage, prenant ses aises à ses côtés. « Hmm, sans doute parce que tu choisis les événements à couvrir que s’ils sont suffisamment intéressants pour m’attirer moi aussi ? » Le sourcil qui se soulève une seconde avant qu’il ne lâche un petit rire. Elle est déjà à l’offensive, la Byrde. Déjà à sortir les crocs et les griffes et il ne peut que secouer la tête, lui. Même si c’est sans doute pour cette raison qu’il est venu la rejoindre — pour ces altercations devenues familières et qui ne sont pas sans lui rappeler la dynamique qu’il a pu avoir, il y a comme une éternité, avec le reste de sa fratrie. « Je ne serai pas là s’il était en train de mourir. » Les invitations ne sont pas distribuées si aisément et avoir un nom connu, si ça aide, ne fait pas toujours tout — Cam, il ne doit sa présence qu’au grand succès du magazine. Mais ça, elle doit bien le savoir, Jackie. « C’est gentil de t’inquiéter, mais ne t’en fais pas, d’ici un an, quand ton précieux Vogue sera définitivement devenu has-been, mon petit magazine sera toujours là pour t’accueillir au sein de sa team. » La coupe portée à ses lèvres. « Enfin, si tu cesses de grogner parce qu’au Clarke’s Mag, on a banni la mauvaise humeur et le froncement de sourcils. » Railleur de ces publicités mensongères sur les entreprises où tout n’est que bonne humeur — même si, s’il doit se montrer tout à fait honnête, il n’a pas encore souvent eu l’occasion de hausser le ton ou de remercier un employé pour une faute qu’il considérerait grave et sans doute est-ce dû à la jeunesse du magazine, ou peut-être que Lizzie et lui ont réussi à instaurer une ambiance un peu plus familiale au sein de la boîte. « Alors, que comptes-tu rédiger sur cette inauguration ? Que la pièce quarante-cinq pourrait être portée par Cara Delevingne au prochain MET gala ? » Du coin de l’oeil, il s’assure que son propre émissaire n’est pas de ceux à rédiger ce genre de grossièreté — il ne le pense pas, toutefois. Toute l’équipe ayant été embauchée selon de réelles compétences de rédaction et un véritable attrait pour la mode et le prêt-à-porté.

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Jackie Byrde
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Jackie Byrde
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Revelations
· Re: if you were on fire and i had a glass of water, i'd drink it (w/cameron). Dim 2 Jan - 15:37
— if you were on fire and i had a glass of water, i'd drink it.
feat. @cameron clarke

Elle n’est pas dans son assiette aujourd’hui, Jackie ; l’attention lui échappe et la patience est limite inexistante. Pourtant, Jackie fait de son mieux pour apparaître comme la journaliste réputée qu’elle est depuis de nombreuses années. Elle fournit un effort pour ne pas divaguer vers un autre monde où tout est plus simple lorsqu’on lui adresse la parole. Elle s’efforce de sourire à travers les commentaires, les conversations inutiles qui ne stimulent aucunement son cerveau et qui semblent détruire ses neurones. « Intéressant est un bien grand mot. » Qu’elle ne peut s’empêcher de commenter ce qui ne lui ressemble pas réellement à Jackie. Emprunter ces mots n’est pas dans son habitude puisque sa règle générale est tentée de trouver un compliment quelque part peu importe son opinion sur la collection. Aujourd’hui, ça lui semble impossible. De plus, elle ne veut pas être ici. À sa défense, on lui a imposé cette présence, cette obligation de jouer la journaliste intéressée – peut-être que dans d’autres circonstances, par exemple si cela avait été son choix, Jackie serait honorée d’être ici. Cependant la vérité est qu’en ce moment, Jackie s’en moque ; royalement. Ce détail, Jackie ne peut pas l’admettre, elle se doit de le conserver à l’intérieur et faire acte de présence. De tout son cœur même car la tête ne suit pas, la tête désire être ailleurs, où la prétention n’est pas obligatoire, la tête, elle veut juste être en sécurité, loin des obligations quelconques, qu’une simple petite journée. « Amusant. J’ai l’impression t’entendre dire cela, au minimum, une fois par année. Puis comme tu sais, le magazine survit à travers les années parce qu’il s’adapte. » La réponse qui suit à la suite d’un roulement de yeux exaspérée (ou peut-être agacée?). À toutes les fois qu’ils se croisent même parce que Cameron et Jackie, ils se croisent sur une base qu’on peut considérer régulière. Et comme toujours, Jackie prend la défense de son précieux magazine. Jusqu’à la fin des temps. Loyale jusqu’à la fin. Peu importe, les événements qui se déroulent dans sa vie à Jackie, le magazine et son emploi sont intactes, ils ne changent pas. « La mauvaise humeur et le froncement de sourcils sont ma marque de commerce, Cameron, je bâtis ma carrière sur ces deux attraits. » La moquerie du moment parce que dissimuler sous ce visage de marbre, Jackie est gentille, une bonne majorité du temps. « Je suis aussi trop bien pour ton petit magazine. » Elle est trop bien pour tout sauf Vogue parce que s’il y a bien un détail constant chez Jackie, c’est son rêve de travailler à ce magazine. Son rêve depuis la première fois où les perles bleutées se sont posées sur la couverture et qu’elle en a lu le contenu par la suite. Son rêve a toujours été Vogue. Son rêve sera toujours Vogue et ce, jusqu’à ce qu’elle pousse son dernier souffle. Jackie s’efforce à faire un bon travail justement dans le but de se faire remarquer. « J’imaginais plus Kendall Jenner, Cara est plus du genre à faire passer un message. » Répond Jackie avant de siroter sa coupe de champagne. « Je ne vais pas te dire que ce je compte rédiger. Je n’ai pas envie que tu me voles mes idées, j’ignore comment ça fonctionne par chez toi. » Une balle après l’autre, elle vide son chargeur. Son ton est ironique, parfois un peu agacé, ses traits sont tendus. N’importe où sauf ici. Ça se voit qu’elle est sur le point d’éclater, qu’il ne lui en faut pas plus pour que le vase soit rempli entièrement. « Cameron, tu n’as pas une autre personne à agacer ? Ou suis-je la seule personne parmi tous ses gens que tu connaisses ? Ce n’est pas parce que nos regards se sont croisés que cela voulait dire que c’était une invitation à venir déranger ma paix. » Troisième balle. Tic, tic, tic ; le son de la bombe à retardement sur le point d’exploser.
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Cameron Clarke
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Cameron Clarke
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Revelations
· Re: if you were on fire and i had a glass of water, i'd drink it (w/cameron). Dim 30 Jan - 18:40
if you were on fire and i had a glass of water, i'd drink it —
@jackie byrde

Le coin des lèvres qui se relève un peu plus aux mots de la blonde, son amusement que confirmé et grandissant à l’ennui qu’elle semble ressentir (ennui ou autre chose, peut-être, il n’a jamais été très bon pour déchiffrer les émotions, Cameron). Il ne rebondira pas, pourtant, de peur d’être entendu d’oreilles indiscrètes, pour ne pas attirer l’attention de ceux qu’il lui serait préférable d’éviter — ça ferait mouche, et tâche, qu’un directeur de journal ne critique en live action une inauguration alors même que ce n’est pas la raison pour laquelle il est ici. Alors il laisse les adjectifs lui échapper, filer de son esprit en amenant les questions que son commentaire pourrait faire surgir, peut-être conscient, au moins un peu, que cette attitude ne lui ressemble guère, à Jackie. Ce doit être son imagination, pourtant — et puis, il ne peut pas interroger, Cameron, ils n’ont pas une relation qui va dans ce sens, qui dépasse le stade du professionnel et ce soir n’y changera sûrement pas. Eux, ils sont épines et taquineries et mots bas et ton mesquin. Pas questions et confidences. « Juste parce que j’ai un sens du temps totalement erroné ne veut pas dire que je fais erreur sur mes prédictions. » Le haussement d’épaule pour accompagner la palabre, le ton irrévérencieux, assuré, où se dissimule un mélange d’agacement et d’amusement. La loyauté dont Byrde fait preuve pour son magazine, le grand nom — comme si seul comptaient les années, comme si la longévité était gage de qualité. Et ce n’est pas le plus terrible de tous, Vogue. C’est sans doute qui en fait un concurrent si tenace, si menaçant pour le Clarke’s Mag. C’est qu’il a déjà survécu aux tempêtes, à quoi d’autre pourrait-il résister ? S’il sait que les temps changent, les courants et les langues se délient, il ne s’y intéresse pas d’assez près pour pouvoir y répondre. Il penche la tête sur le côté, fait mine de chercher trace de quelque chose avant d’esquisser un sourire. « Le look mauvais genre, uh ? Tu feras gaffe, ça donne des rides et on sait que tes grands patrons n’apprécient pas l’âge et les marques de celui-ci. » Le rire qui s’étouffe dans sa poitrine. Elle ne manque pas d’audace, Jackie. « I’ll remember this when you come begging for a job. » Il n’en manque pas non plus, le ton jamais moins assuré que celui qu’elle prend. « Quand est-ce qu’ils t’augmentent, au fait ? » Le sourire qui se fait plus mauvais que rieur, une lame qui voudrait se planter, faire mal. Des années, il lui semble, qu’elle bosse pour le journal et il n’a pas eu l’impression que sa position au sein de celle-ci ait beaucoup évolué (non pas qu’il s’y soit intéressé de près, mais au moins un peu, avant de faire une proposition d’emploi). « Je suis flatté que tu me prêtes quelques compétences littéraire mais sache que je ne rédige rien. » Pas plus qu’il ne lit, d’ailleurs, il survole tout au mieux, laisse le reste aux rédacteurs et à Lizzie. Ses traits changent, à Jackie, et il se trouble légèrement, Cam. Une seconde, une brève seconde, durant laquelle il devient le grand frère et plus l’ennemi, durant laquelle il y a comme une alerte silencieuse de ce rôle attribué avec la naissance de Lizzie, ce rôle qu’il prend un peu trop à coeur, qu’il met parfois de côté mais qui revient, même avec d’autres — comme là. « Well, les autres n’ont pas autant de répartie, ce qui les rend ennuyeux. » Et puis, d’ordinaire, des regards qui se croisent est exactement ce qui enclenche leur guerre verbale, les échanges vifs. Il scrute, il essaie de deviner, Cameron avant que ça ne le frappe.
Jackie, elle a ce regard.
Celui qu’il a souvent prêté à Bastian sans trop s’y arrêter.
Celui qui est las, qui n’en peut plus.
Les mots brûlent ses lèvres mais il les retient, pas ici, pas devant tant de monde. Parce qu’il croit pouvoir assumer que Jackie, elle ne parlera pas devant témoin. Il lève un bras, ses doigts qui attrapent son coude doucement et il l’entraîne à l’écart, l’extérieur. La prise un peu trop ferme pour qu’elle puisse se dérober, trop lâche pour faire le moindre mal. Il se poste face à elle, lui laisse l’opportunité de faire demi-tour, retourner à la fête, les convives, l’alcool. « Qu’est-ce qu’il se passe ? » Et pour la première fois, pas de taquinerie sur la langue, pas de jeu dans son regard. Il n’y a pas encore l’inquiétude (pas réellement, en tout cas), mais il y a ce quelque chose, cet air tendu et entendu qu’il sait, qu’il a deviné et qu’elle peut parler. Parce qu’il n’est plus tant Cameron Clarke que Cam, à présent.
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Jackie Byrde
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Revelations
· Re: if you were on fire and i had a glass of water, i'd drink it (w/cameron). Ven 18 Fév - 16:53
— if you were on fire and i had a glass of water, i'd drink it.
feat. @cameron clarke

L’ensemble de la situation l’agace. Le simple fait d’être présente lui donne envie de prendre ses jambes à cou, avec le simple désir de s’éloigner de tout le monde, de tous les bruits qu’elle capte. La situation entière la dépasse alors qu’elle, elle essaie de montrer un intérêt, de ne pas démontrer à qui que ce soit qu’elle n’a pas envie d’être ici, entourée de tous ses personnes. Il y a cette envie de s’éclipser, monter dans sa voiture et conduire jusqu’à ce petit appartement aux Hamptons et d’y rester le temps que ça s’arrange. Que tout revienne à la normale lorsque Jackie n’avait pas besoin de prétendre quoi que ce soit. Être réellement heureuse lui manque à Jackie. L’ancienne Jackie lui manque. Celle qui n’avait pas besoin de prétendre un sourire. Nostradamus, c’est toi ? » Quelques mots, qu’une simple bêtise qui, étonnamment, arrive à lui arracher un sourire. Un vrai sourire pas celui faux qu’elle a de placardé sur les lèvres depuis qu’elle a franchi la porte de cet établissement. Celui qu’elle affiche depuis quelques mois maintenant. Parce que prétendre est devenu plus facile qu’accepter la douleur qu’on ressent. Que d’en parler et de s’en libérer à la fin comme si Jackie désirait conserver ce mal en elle afin de se rappeler ce qu’elle a perdu. Ce qu’elle continue de perdre.
« Ne t’inquiète pas pour mes rides, je connais un bon esthéticien qui peut m’arranger tout ça, s’il le faut. Vieillir ? Je ne connais pas. » Pour une personne qui n’a pas l’impression d’être à sa place, qui s’efforce d’avoir une conversation, Jackie est impressionnée par ce besoin de ne pas lui donner le dernier mot alors qu’il lui serait facile de simplement l’écouter et ne pas lui offrir une réponse. Mais non, Jackie, elle lui répond à Cameron, refuse de lui donner raison. « Le jour où je viens te supplier pour un emploi, ce sera la fin du monde, je peux te l’assurer Cameron. » Elle serre très fort le petit carnet dans ses mains au point où ses jointures tournent blanches. Jackie prend une décision énorme en ne répliquant pas à sa question, se contente simplement de rouler les yeux. Une inspiration et une expiration. Elle se dit que si elle continue de rester silencieuse, Cameron prendra la décision de s’en aller afin d’embêter une autre personne. Ou alors, elle se dit qu’en continuant de respirer, le temps passera plus vite. Un ou l’autre, Jackie n’est pas difficile, tant qu’on la laisse en paix à la fin de tout ça. Tant qu’on ne vient pas perturber son silence plus tard. « Ça ne m’étonne pas, pour être honnête. » Qu’elle répond en lui adressant un faux sourire.
Peut-être que si la situation était différente, Jackie serait touchée de savoir qu’elle n’est pas aussi ennuyante que les autres. Peut-être même qu’elle le remercierait, mais elle ne trouve absolument aucun réconfort dans les paroles de Cameron. Elles viennent rencontrer son armure de fer et tombent au sol. — Jackie ne sait pas trop ce qui se passe, devant son regard, elle voit les visages se changer et les lieux ne plus être les mêmes. L’extérieur de la boutique où tout est plus silencieux, le manque de temps avant de réaliser ce qui se passe. Et du regard, elle interroge Cameron, prétend ne pas comprendre sa question tandis qu’il y a une petite voix à l’intérieur qui lui dit qu’il est sincère, qu’il essaie de comprendre. « Rien. » Même elle, elle n’arrive pas à se convaincre par ce simple petit mot, prononcer avec cette simple petite voix. Comme si on venait de la prendre sur le fait. « Rien du tout. Tout va bien. » Pourquoi tu mens ? ; car c’est plus facile de mentir que se libérer et d’admettre la vérité. « Depuis quand t’inquiéter fait partie de tes responsabilités ? » Elle l’interroge ; les mots qui commencent à lui brûler la langue. L’envie de se libérer qu’une fois. « Tu n’as pas à t’inquiéter, Cameron, je vais bien et la raison de mon humeur est parce que je ne suis pas supposé être ici. » Le mensonge qui vient se mêler à la vérité.
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III / THE HAMPTONS.

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